Torrent de Kérith

Passer à l’échelle supérieure

Le cacao d'Angèle

Histoire de résilience

Il y a plus de 25 ans, Angèle Kouakou plantait son premier champ de cacao aux côtés de son mari. Ensemble, ils rêvaient d’un avenir prospère, ancré dans la terre. Mais le destin en a décidé autrement : après la mort de son mari, tout a basculé. Les cacaoyers qu’ils avaient plantés devenaient défaillants, et Angèle se retrouvait seule avec ses enfants et un champ à gérer.

« J’ai commencé à me renfermer sur moi-même, je déprimais… Mais quand je regardais mes enfants et ce qu’il fallait faire pour eux, j’ai trouvé la force de continuer. »

Avec courage et détermination, elle a replanté de nouveaux arbres de cacao. Et cette année, après des années de travail et de patience, son champ est enfin en pleine production. Angèle est plus qu’une cultivatrice. Elle est une mère battante, une femme courageuse, un exemple de résilience.

Son message est clair pour toutes les femmes :

Ne jamais se laisser abattre par les épreuves

Toujours s’armer de courage et de vision
Se relever à chaque chute et avancer, même avec les cicatrices

Son objectif : Produire beaucoup, en grande quantité, et tirer le meilleur de son champ de cacao, pour elle, pour ses enfants et pour inspirer sa communauté.

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Ignames et manioc pour la communauté

Une histoire inspirante

Au cœur de Daloa, en Côte d’Ivoire, vit une femme dont la vie est intimement liée à la terre. À 36 ans passés, Edith Kouamé incarne la détermination, la rigueur et la passion qui font naître de grands rêves à partir de petits débuts.

Quand elle a commencé son champ avec seulement un demi-hectare, beaucoup doutaient d’elle.

Mais Edith n’a pas cédé. Avec courage et patience, elle a cultivé son champ, semé sa volonté et récolté ses premiers succès. Aujourd’hui, elle cultive 1 hectare et demi de manioc et d’igname, nourrit une partie de la population de Daloa et voit son travail reconnu par ceux-là mêmes qui l’avaient critiquée.

« Je suis fière de ce que j’ai accompli. Les mêmes personnes qui me décourageaient hier viennent aujourd’hui me demander conseil. »

Pour Edith, l’agriculture n’est pas seulement un moyen de subsistance. C’est sa passion, son combat, sa contribution au développement de sa communauté.

Et son rêve va encore plus loin et son ambition est claire : accroître ses productions pour nourrir une plus grande partie de la population de Daloa et, à terme, atteindre également la capitale économique, Abidjan. Elle veut ainsi démontrer que l’agriculture locale, menée avec passion et rigueur, peut contribuer à la sécurité alimentaire et au développement de son pays.

Fondée en 2017 à Kimpese (Kongo Central) par Maman Béatrice, infirmière-sage-femme spécialisée en santé communautaire en milieu tropical, Torrent de Kérith est née de son combat contre la malnutrition et de son désir profond d'améliorer la santé de sa communauté.

Sur 26 hectares, la ferme associe agriculture durable (maraîchère, vivrière, fruitière) et élevage raisonné (porcs, poules, chèvres).

Les pratiques allient innovation, écologie et solidarité :
Engrais naturels issus de l’élevage
Réseau d’agriculteurs formés
Partenariat avec les mamas locales
Stages pour étudiants agronomes
Produits accessibles à la communauté
Dons pour les plus démunis

Les engagements de Torrent de Kérith sont :

Promouvoir une agriculture durable et éthique

Offrir des produits alimentaires accessibles à la communauté

Participer à l’autonomisation des agriculteurs locaux

• Soutenir les populations en difficulté par des dons alimentaires

Accompagner la formation des étudiants agronomes par des stages pratiques

Aujourd’hui, Torrent de Kérith et maman Béatrice cherchent des partenaires pour :
Transformer et conserver les produits
Distribuer plus largement

Embouteiller une eau pure disponible sur notre domaine